Au travers d’une série d’interviews, ce film montre que les évènements du 11 septembre et les poursuites de la "guerre au terrorisme", peuvent être mieux compris dans le contexte plus large de l’imminence d’une crise pétrolière. Réalisé en 2006  par Ronan Doyle, et d'une durée d'une heure, "Oil smoke & mirrors" dépeint la culture de notre politique mondiale qui tragiquement, et pour quelque raison que ce soit, se dissocie complètement de ses valeurs fondatrices.

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Depuis le 16 mars dernier, la Ville de Sorel-Tracy, les entreprises Les Portes du Manoir et Boulet portes et fenêtres sont dignement représentés au Salon National de l'Habitation de Montréal à la Place Bonaventure. C'est Laurent Cournoyer, de Page & Cournoyer, qui précisait que c'est dans le cadre de la campagne publicitaire "À Sorel-Tracy, on construit" que cette présence est rendue possible et c'est avec enthousiasme que la région est présente auprès de ces quelques 170 000 visiteurs durant les 10 jours de cet événement.  L'équipe de Rona Bibeau et Annie Parenteau designer sont également présents sur place pour présenter leurs services.

Selon monsieur Cournoyer, tous les jours, plusieurs dizaines de visiteurs proviennent de notre région ou connaissent très bien Sorel-Tracy.  Aussi, entre 5 à 10 visiteurs par jour sont des personnes très intéressés à visiter Sorel-Tracy pour peut-être venir s'y établir.  « Pour la plupart, ce sont des jeunes couples qui désirent s'acheter une première maison et ils sont très favorables à l'attrait que représente les coûts compétitifs chez nous. Le site www.onconstruit.ca  accumule en ce moment des records d'achalandage (entre 75 et 100 visiteurs en moyenne par jour).»  L'invitation est maintenant lancée de se donner rendez-vous au Salon National de l'Habitation de Montréal, afin de rencontrer les gens sur place au kiosque #950 d'ici la fin du salon le dimanche 25 mars à 18h.

La nouvelle secrétaire est madame Jacinthe Boisvert qui a oeuvré au MAPAQ de Sorel durant plusieurs années et elle sera sans aucun doute un atout considérable pour l'UPA par sa grande connaissance du milieu agricole Bas-Richelois.

François Desmarais, Éric Noël, Sylvain Simard, Philippe Rochat et Gilles Salvas

Simard a parlé surtout de ses réalisations (régionales) devant des gens d'affaires qu'il a l'habitude de rencontrer et Gilles Salvas a répété ses priorités et présenté à nouveaux ses projets, qui semble se préciser de plus en plus. Philippe Rochat a poursuivi sur le thème de la famille tout en ajoutant le projet de prolongement de la piste cyclable. Éric Noël fut correct dans la présentation de son programme, mais François Desmarais fut beaucoup plus virulent que la veille. « On est pas contre les usines, on veut qu'ils prennent conscience de l'environnement ! », disait-il en résumé, et qui fut l'une de ses phrases clé.

Par contre, la dernière demi-heure de cette soirée fut très relevée, en particulier François Desmarais qui passait, à Sylvain Simard, une remarque déconcertante sur les GMF (Groupe Médecine Familiale), et Gilles Salvas qui brandissait d'un ton accusateur, un article des 2 Rives qui datait de 1996, qui faisait mention, selon Salvas, de la fermeture de l'hôpital Hôtel-dieu.(!!!) Or, après vérification au cours de la nuit dernière, le contenu de ce texte risque de ne pas conclure à ce qu'on avait anticipé.

Je vous invite à lire les détails de cette soirée dans le Journal La Voix de demain (samedi), sous la plume de Hélène Goulet, et du Journal Les 2 Rives de mardi, de Louise Grégoire-Racicot.

15 mars 2007 - Bon débat des candidats aux élections Québec 2007 du comté de Richelieu, retransmit sur les ondes de CJSO FM, mais qui se tenait au Café des Beaux-Instants, du Centre Culturel. On a eu la chance de voir et d'entendre, les cinq candidats s'affronter, soit Sylvain Simard du Parti Québécois, Gilles Salvas du Parti Libéral, Philippe Rochat de l'Action Démocratique, Éric Noël du Québec Solidaire et François Desmarais du Parti Vert.

Tous les grands thèmes nationaux et actuels furent abordés au cours de ce débat d'une durée de plus de deux heures, qui fut un peu plus vigoureux lorsqu'est venu le temps de parler d'économie régionale. Comme on pouvait s'y attendre, Sylvain Simard, le député sortant, était ciblé à plusieurs occasions. Lui qui avait demandé de débattre publiquement des enjeux électoraux, fut fidèle à lui-même. On a pu se rendre compte que Gilles Salvas pouvait débattre lui aussi et son discours le plus enflammé, fut celui qu'il a improvisé. Philippe Rochat a fait plusieurs parallèles avec le secteur agricole, on le sent confortable dans ce domaine. Chez les jeunes candidats, Éric Noël en a surpris plus d'un par son aisance et la pertinence de ses questionnements, tandis que François Desmarais a fait bonne figure lui aussi.

À plusieurs occasions, il y avait trop de lecture, pas assez d'improvisations, un seul élan de partisanerie dans la salle (alors qu'il ne devait pas y en avoir), et j'aurais aimé un peu plus d'affrontements, mais en gros, ce fut très intéressant.

Un grand coup de chapeau à l'équipe de CJSO, mais en particulier à Reynald Bergeron qui grâce à son expérience, a dirigé le trafic de façon remarquable, sans hausser le ton plus qu'il n'en fallait, laissant le soin au candidat qui n'avait plus de temps, de finir leur idée et de passer vigoureusement au suivant, tout et ramenant le débat à l'avant plan avec une question pertinente. Nous étions en confiance.

Un autre débat ce soir (jeudi 15 mars), celui organisé par la Chambre de commerce de Sorel-Tracy, et qui aura lieu au Restaurant Tracy. Il faut s'attendre à un débat plus "économique", on devrait y parler de la continuité de la relance dans notre région, de l'industrie, de nos commerces, du secteur des affaires, et du travail également.

Photos du débat : http://www.soreltracy.com/photos/index.html

Ghislain Gélinas, à gauche, en ma compagnie.

Ça n'arrivait pas aussi souvent qu'aujourd'hui, mais lorsque Ghislain laissait tomber les gants, l'autre gars s'en souvenait. Je l'ai vue ébranlé qu'une seule fois, et ce n'était pas à la suite d'une bagarre, mais plutôt qu'il venait de rater une mise en échec, à Thetford Mines, et qu'il avait frappé de plein fouet le poteau du commencement de la baie vitrée. Il n'a jamais voulu rester étendu sur la patinoire, il s'est plutôt relevé par ses propres moyens, en plus d'une sévère coupure, pour retourner s'asseoir sur le banc, en tenant la bande fermement. Appelez ça de l'orgueil ou de l'endurance, il reste que je me suis toujours demandé comment il avait fait pour se relever.

Après son junior majeur, avec les Éperviers de Verdun, Ghislain Gélinas abandonnait complètement le hockey, pour s'en aller dans l'ouest canadien afin d'y travailler en hôtellerie. Après avoir complété ses études dans ce domaine, il revint au Québec pour entrer au Casino de Montréal. Il est à l'emploi de l'entreprise depuis plus d'une décennie. Gélinas habite Boucherville, mais vient visiter régulièrement ses parents à St-Joseph-de-Sorel, et sa présence à l'aréna Aussant dimanche dernier, pendant le Tournoi Peewee Lions, était pour son fils qui évolue avec les Jeunes Sportifs d'Hochelaga dans le Peewee BB.  Parmi ses qualités, Gélinas cherchait souvent le moyen de rigoler un bon coup.  Rire, et faire rire aussi.

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