Walter S. White historien et écrivain
Par Madeleine B. Lussier et Roland Plante

En 1926, il immigra au Canada et s’établit sur une ferme à Rockburn dans les Cantons de l’Est. Un an plus tard, il travaille comme dessinateur à l’usine Dominion Bridge.

En 1932, il s’établi à Sorel et devient responsable de la salle à dessin de la Sorel Steel Foundries Limited, pendant 5 ans.

Au début de la guerre il fut nommé surintendant de l’aciérie de Sorel Industries Limited pendant 2 ans. À la fin de la guerre, le besoin de canon diminua et on le retrouve à la Marine Industries Limited dans le département de génie maritime. Trois ans plus tard, il est à l’emploi de l’usine Fer et Titane comme surveillant des fours à arc. Il devint par la suite, surintendant de l’usine et assistant surintendant de l’entretien.

Le 13 mai 1939, il épouse Jeanne Petitclerc, fille d’Armand et de Marie Simard.
Ils eurent deux garçons, Paul, architecte naval et Peter qui fut secrétaire trésorier de Ste-Anne-de-Sorel.

Surintendant de l’aciérie

Directeur à Québec Iron and Titanium


Passionné d’histoire, la ville de Sorel était un sujet parfait pour des recherches. Il devint membre de la Société Historique Pierre-de-Saurel, membre de la Société Historique du Canada, membre du Club Richelieu, des Lions de Sorel,

Il fut un marguiller de la paroisse Ste-Anne-de-Sorel ainsi qu’échevin pour la municipalité.

Il est décédé le 28 octobre 1995.

M. White a produit plusieurs livres sur notre histoire. Il était considéré comme une source d’information. Son épouse, Jeanne Petitclerc a grandement contribué à la rédaction de ses travaux.

Un jour avec Michel Péloquin, maire de Ste-Anne-de-Sorel, nous étions chez lui pour parler histoire Il nous montra dans une armoire deux cranes trouvés lors du creusage pour le système d’évacuation des eaux usées. On refusait de les enterrer dans le cimetière catholique. On ignorait s’ils étaient catholiques. Je lui ai suggérer d’en parler avec un prêtre de mes connaissances qui était plus ouvert. Ce fut alors réglé.

M. White nous autorisa a nous servir de sa documentation, Ceci fut aussi confirmé par son fils Peter à Michel Péloquin.

Monsieur White écrivit plusieurs articles sur notre histoire
Dans le journal le Sorellois.

Source : Roland Plante, Courriel Saurelois