Courriel Saurelois
Une chronique sur l'histoire de Sorel
de Roland Plante

12 décembre, 2018

En collaboration avec :

Les Frères de la Charité, MSB ASC
Par Roland Plante

La communauté des Frères de la Charité fut fondée en Belgique en 1807 par le Chanoine Pierre Joseph Triest. La Belgique étant rattachée à la Hollande ils subirent beaucoup de tracasserie. Ils ont fondé de nombreuses institutions pour s’occuper des aveugles, des enfants abandonnés, des vieillards, des malades mentaux et des prisonniers.

En 1830, la Hollande se fit amputer de la Belgique. Le roi Léopold 1ier et le gouvernement belge proclamèrent la liberté d’association et d’enseignement. Le souverain belge très satisfait de leurs œuvres, donna à certaines d’entre-elles le titre de Royale.

En 1859, un homme d’une grande générosité, M. Antoine-Olivier Berthelet avait fondé à Montréal, un hospice pour les vieillards malades et les enfants abandonnés. Monseigneur Bourget fit des recherches pour avoir une communauté religieuse pour en prendre charge. Après plusieurs échecs auprès de différentes communautés, il réussit à convaincre les Frères de la Charité de venir au Canada. En 1865, quatre religieux quittent Liverpool pour Portland afin de se rendre à Montréal. Ils y prirent en main l’hospice St-Antoine.
Les pauvres garçons en rupture avec la bonne conduite était internés au fort de l’île aux Noix et à St-Vincent de Paul. On les accueilli dans un édifice sur la rue De Montigny et finalement en 1932 à l’imposant édifice nommé le Mont-Saint-Antoine à Montréal. Les Frères fondent le Mont-St-Benoît, un hospice sur la rue Notre- Dame pour les malades mentaux et pour traiter les alcooliques.

La communauté attira de nombreux jeunes qui désiraient répondre à l’appel de Dieu pour se consacrer au service des personnes dans le besoin. Ils prirent en charge plusieurs écoles dans la province et même aux États-Unis.

À Sorel, une école était construite sur le site du Centre Sacré-Cœur et utilisé à partir de 1868.
Se fiant à l’aide du gouvernement, une deuxième école fut construite sur le site de la Polyvalente Fernand-Lefebvre et ouverte en 1877. Les promesses du gouvernement n’étant pas tenues, l’école fut vendue à l’honorable Abbott et un collège anglais nommé Lincoln Collège fut ouvert en 1883. L’armée britannique se retirant de Sorel, diminuant le nombre d’étudiants, le collège fut fermé. Huit ans plus tard, soit en 1896, il fut vendu aux Frères de la Charité pour la somme de 12,000$. On en fit un collège privé, nommé le Mont-St-Bernard, qui donna des cours de haute qualité sur le commerce et les sciences.

Les cours donnés à l’Académie du Sacré-Cœur étaient limités au primaire. Pour poursuivre leurs études, ceux qui en avaient les moyens pouvaient le faire dans un collège privé en assumant les coûts.

En 1869, l’enseignement à l’Académie-du-Sacré-Cœur fut confié aux Frères des Écoles Chrétiennes Ils furent remplacés par les Pères de Sainte-Croix. Suite à un différend avec la commission scolaire, ils se retirèrent en 1909.

Le 28 juin 1909, un contrat fut passé devant le notaire J.B. Théophile Lafrenière par le président de la commission scolaire le docteur Henri-Marie Pontbriand et le révérend frère Philémon S’Papen supérieur provincial des Frères de la Charité qui s’engagent à dispenser l’enseignement primaire au salaire de 250$ par année par professeur. On comptait 500 élèves répartis en onze classes avec en moyenne 45 élèves. En 1910, M. J.F. Normand, inspecteur d’écoles et les commissaires MM. J.A. Proulx, Adélard C. Trempe, Arthur Langlois et Louis-Sigebert Robitaille écrivent leur satisfaction pour la qualité de l’éducation et de l’instruction. Le professeur Auguste Liessens, diplômé en musique de Belgique y donna des cours.

Le collège Mont-St-Bernard cesse l’enseignement comme collège privé

En 1922, on annonce la fermeture du Mont-St-Bernard pour en faire un centre de formation pour les religieux dont une école normale. Pour répondre aux inquiétudes des sorelois, le révérend frère Magnile de Ruysscher affirme qu’une meilleure formation pour les enseignants au Mont St--Bernard sera bénéfique aux élèves de l’académie. L’enseignement supérieur qui serait donnés à l’Académie sera à la portée de tous.

Projet d'internat indépendant

La Commission Scolaire offre en 1944, de céder la propriété aux Frères de la Charité pour en faire un institut privé.

Ces derniers estiment qu'un externat supérieur dépendant de la Commission Scolaire avec le cours scientifique du Département de l'Instruction Publique convient mieux aux aspirations des jeunes et à la majorité des familles de Sorel. Le 29 mars 1944, on offre aux Religieux de Sainte-Croix de prendre charge et de devenir propriétaires de l'Académie en autant qu'ils dispensent l'instruction commerciale et scientifique, les commissaires s'engagent à décongestionner cette maison de toute la marmaille qui l'occupe actuellement.

Les religieux ne désirent pas supplanter les Frères de la Charité, à moins qu'ils ne quittent d'eux-mêmes et de plus ne le feront qu'à la demande des autorités religieuses, soit de l'évêque et des curés concernés et avec l'assentiment de leur conseil général. Le 8 avril, le Frère Jacques Blanchard, directeur, apprend par des élèves et des parents les démarches des commissaires. Lors d'une rencontre avec le président de la commission, M. Henri-Marie Pontbriand, médecin, se dit très content du travail de la communauté à l'Académie et ne désire nullement le changement proposé;

En 1943 et 1944, plusieurs articles violents paraissent dans les journaux locaux dont voici quelques titres: "Recourons donc puisqu'il le faut au laïcisme"," Il nous faut le Mont-Saint-Bernard", "Qu'attendons-nous?", "L'ouvrier est exploité", "Cadenas mystérieux" .Au printemps 1944, un pamphlet rempli de demi-vérités et d'allusions malveillantes à l'adresse des Frères et de l’Evêque de Saint-Hyacinthe intitulé "L'odyssée d'un collège à Sorel" est publié par M. Albert O.Cartier secrétaire-trésorier de la ville de Sorel. La Société d'Histoire Régionale de Saint-Hyacinthe rétablira les faits dans sa publication "L'enseignement des garçons à Sorel". L'inspecteur Léonidas Lafond a écrit aux commissaires pour défendre les Frères et pour expliquer que ces derniers ont pour plus de $15,000 d'équipements qui leur appartient et qu'ils dépensent annuellement plus de $2,000 pour le bien des élèves. Ceux qui y poursuivent leurs études à Sorel, se comparent très bien avec ceux des autres villes. Le 29 avril 1944, les commissaires répondent par l'intermédiaire de leur secrétaire, M. A.O.Cartier qu'ils trouvent les rapports de l'inspecteur édulcorés, qu'ils sont les plus aptes à juger de la qualité de l'enseignement et que cela les concerne. Il prédit la transformation de l'Académie en un collège d'éducation supérieure.

Le 24 avril 1944, le Frère Jacques Blanchard, directeur de l’académie écrit au Frère Magnile De Ruysscher, visiteur, les points saillants de sa rencontre avec M. A.O. Cartier : La fermeture du Mont-Saint-Bernard était un crime impardonnable. (Il ne dit pas que les Frères y étaient compétents). Votre correspondance avec l'évêque de Saint-Hyacinthe fut obtenue subrepticement par le Dr J.W. Robidoux. Si les commissaires n'obtiennent pas une autre communauté, ils feront venir des laïques

Selon M. Cartier, l'arrivée des Frères de la Charité à Sorel fut un désastre. Les commissaires doivent se décharger de l'éducation des enfants dès la fin de la 7ième année. Les communautés et les parents devront s'en charger, que les pauvres s'en passent. Au cours de l'été 1944, les commissaires demandent à Mgr Arthur Douville d'intercéder pour que les Religieux de Sainte-Croix établissent un collège privé à l'Académie. Monseigneur Douville répond de l'offrir en premier aux Frères de la Charité.

Le 25 juillet 1944, les conseillers scolaires, Henri-Marie Pontbriand, Arthur Charbonneau, Ludger Simard, Alphonse Beaudet et J. Édouard Champoux font une proposition qui ne présente aucune garantie. Le 5 août 1944, le Frère Magnile répond qu'il ne voit pas de difficultés à donner l'enseignement demandé.

La transformation de l'Académie en pensionnat serait très dispendieuse. La Communauté ne saurait prendre les risques et les charges sans autre protection que la satisfaction des membres de la commission scolaire.

De plus, la loi oblige les commissions à dispenser l'enseignement gratuitement jusqu'à la 9ième année inclusivement. Il propose un EXTERNAT SUPÉRIEUR dépendant de la Commission Scolaire avec un programme adapté aux nécessités locales, encouragé par les citoyens et les industriels, répondra mieux aux besoins et aux aspirations de la jeunesse étudiante et à la "masse des familles de Sorel."

En 1922, on annonce la fermeture du Mont-St-Bernard pour en faire un centre de formation pour les religieux dont une école normale. Pour répondre aux inquiétudes des sorelois, le révérend frère Magnile de Ruysscher affirme qu’une meilleure formation pour les enseignants au Mont St--Bernard sera bénéfique aux élèves de l’académie. De plus, l’enseignement supérieur sera à la portée de tous.



En 1928, à l’académie du Sacré-Cœur, une septième et une huitième année du cours commercial furent ajoutées. On y enseigne la religion, le français, les mathématiques, l’anglais, le dessin, l’histoire et la géographie. On y enseigne aussi la dactylographie, la sténographie, la comptabilité et la musique.

En 1928, le Frère Paul Durette fonde l’Harmonie Ste-Cécile dont le premier directeur était Monsieur Léon de Kestelier, diplômé du conservatoire de Bruxelle.

Les premiers diplômés de l’Académie du Sacré-Cœur furent MM. Édouard Farly, Théodore Bardier, Mathias Belhumeur, Jean-Paul Matte, Léon Comtois, Jean-Louis Forcier et Gérard Mongeau.

Un corps de cadets est formé, une publication mensuelle, «L’Échos de l’A.S.C.», informe le public des activités de l’école.

En 1933, c’est la crise. Les commissaires avisent les Frères que leur contrat se termine à la fin de l’année scolaire, décision entérinée par le député fédéral, M. P.J.A. Cardin et le député provincial, J.C.A. Turcotte, industriel. Ceci a surpris les curés. Une conséquence de cette action rendrait l’accès à l’instruction qu’aux biens nantis. Cette décision est révoquée. Les frais de la Commission Scolaire seront assumés par les payeurs de taxe.

Les commissaires tentent de convertir l’école en collège privé. Ils offrent la bâtisse, les terrains ainsi que 25,000$ aux Clercs St-Viateur. Ces derniers refusent.

On compte 750 élèves de la première à la neuvième année. M. Georges Codling, licencié en musique remplace M. de Kestellier.

Reconstruction de la vieille section

Le contrat est accordé le 2 mai 1935 à M. René Lafleur au montant de 71,835.$ suivant les plans de l'architecte M. Felix Racicot. La bénédiction des nouveaux locaux fut présidée par Son Excellence Mgr Fabien-Zoel Decelles, évêque de St-Hyacinthe Le président de la Commission Scolaire est M. le Docteur Henri-Marie Pontbriand.

Pendant la reconstruction de l’école, 6 classes furent louées à Madame Amable Lussier

Le 7 mai 1935, le secrétaire M. Albert O. Cartier soumet un bref d'injonction pour suspendre les travaux. A l'insistance de MM. les Curés de Saint-Pierre et de Notre-Dame une école temporaire sous la direction du R.F. Berthilon-Clément Gilbert, groupant 6 classes opèrent dans des locaux loués de madame Amable Lussier.

Le 10 août 1935, les commissaires veulent s'assurer que tous les enfants pourront fréquenter l'école, la question d'un salaire de plus ne compte pas. Le 3 septembre les Frères pourront continuer de fournir des livres aux enfants pauvres. Le 30 janvier 1936, les commissaires sont enchantés de la perception par les Frères de la contribution scolaire et les en "félicitent".
Le 24 mars 1936, l'Honorable Juge Guilbault ayant donné raison aux commissaires et les travaux peuvent continuer. Les employés s'amusent à sonner le glas de la vieille école avant d'enlever la cloche.

Le 24 septembre 1936, 818 élèves répartis dans 25 classes admirent leur nouvelle école, construite au milieu de tracasseries de toutes sortes. La bénédiction par Mgr Fabien-Zoel Decelles de Saint-Hyacinthe se fit en présence du docteur Henri-Marie Pontbriand, président de la Commission, de Mgr P.S.Desranleau, de M. le curé A. Couillard-Després, du R.F.Frémond, supérieur provincial de la communauté, du père Athanase Francoeur et de MM. J.Edouard Champoux, J.B.Rajotte, Charles Arpin, Félix Racicot et R.Lequin.

Projet d'internat indépendant

La Commission Scolaire offre en 1944, de céder la propriété aux Frères de la Charité pour en faire un institut privé. Ces derniers estiment qu'un externat supérieur dépendant de la Commission Scolaire avec le cours scientifique du Département de l'Instruction Publique convient mieux aux aspirations des jeunes et à la majorité des familles de Sorel. Le 29 mars 1944, on offre aux Religieux de Sainte-Croix de prendre charge et de devenir propriétaires de l'Académie en autant qu'ils dispensent l'instruction commerciale et scientifique, les commissaires s'engagent à décongestionner cette maison de toute la marmaille qui l'occupe actuellement.

Les religieux ne désirent pas supplanter les Frères de la Charité, à moins qu'ils ne quittent d'eux-mêmes et de plus ne le feront qu'à la demande des autorités religieuses soit de l'évêque et des curés concernés, avec l'assentiment de leur conseil général. Le 8 avril, le Frère Jacques Blanchard, directeur, apprend par des élèves et des parents les démarches des commissaires. Lors d'une rencontre avec le président de la commission, M. Henri-Marie Pontbriand se dit très content du travail de la communauté à l'Académie et ne désire nullement le changement proposé.

En 1943 et 1944, plusieurs articles violents paraissent dans les journaux locaux dont voici quelques titres: "Recourons donc puisqu'il le faut au laïcisme"," Il nous faut le Mont-Saint-Bernard", "Qu'attendons-nous?", "L'ouvrier est exploité", "Cadenas mystérieux" .Au printemps 1944, un pamphlet rempli de demi-vérités et d'allusions malveillantes à l'adresse des Frères et de l’Évêque de Saint-Hyacinthe intitulé "L'odyssée d'un collège à Sorel" est publié par M. Albert O.Cartier secrétaire-trésorier de la ville de Sorel. La Société d'Histoire Régionale de Saint-Hyacinthe rétablira les faits dans sa publication "L'enseignement des garçons à Sorel". L'inspecteur Léonidas Lafond a écrit aux commissaires pour défendre les Frères et pour expliquer que ces derniers ont pour plus de $15,000 d'équipements qui leur appartient et qu'ils dépensent annuellement plus de $2,000 pour le bien des élèves. Ceux qui poursuivent leurs études à l'extérieur de Sorel, se comparent très bien avec ceux des autres villes. Le 29 avril 1944, les commissaires répondent par l'intermédiaire de leur secrétaire, M. A.O. Cartier qu'ils trouvent les rapports de l'inspecteur édulcorés, qu'ils sont les plus aptes à juger de la qualité de l'enseignement et que cela les concerne. Il prédit la transformation de l'Académie en un collège d'éducation supérieure.

Le 24 avril 1944, le Frère directeur Jacques Blanchard, écrit au Frère Magnile De Ruysscher, les points saillants de sa rencontre avec M. A.O.Cartier. Selon lui, ,la fermeture secrète du Mont-Saint-Bernard était un crime impardonnable. (Il ne dit pas que les Frères y étaient compétents). Votre correspondance avec l'évêque de Saint-Hyacinthe fut obtenue subrepticement par le Dr J.W. Robidoux. Si les commissaires n'obtiennent pas une autre communauté, ils feront venir des laïques

Selon M. Cartier, l'arrivée des Frères de la Charité à Sorel fut un désastre. Les commissaires doivent se décharger de l'éducation des enfants dès la fin de la 7ième année. Les communautés et les parents devront s'en charger, que les pauvres s'en passent. Au cours de l'été 1944, les commissaires demandent à Mgr Arthur Douville d'intercéder pour que les Religieux de Sainte-Croix établissent un collège privé à l'Académie. Il répond de l'offrir en premier aux Frères de la Charité.

Le 25 juillet 1944, les conseillers scolaires, Henri-Marie Pontbriand, Arthur Charbonneau, Ludger Simard, Alphonse Beaudet et J. Edouard Champoux font une proposition qui ne présente aucune garantie. Le 5 août 1944, le Frère Magnile répond qu'il ne voit pas de difficultés à donner l'enseignement demandé. La transformation de l'Académie en pensionnat serait très dispendieuse. La Communauté ne saurait prendre les risques et les charges sans autre protection que la satisfaction des membres de la commission scolaire.


Conventum 1959


20 finissants - Dernière graduation

Fermeture de l’École Secondaire du Sacré-Coeur

En date de 1982, la Commission Scolaire ferme sa plus vieille institution. La courbe démographique à la baisse et les économies à réaliser furent les raisons qui l'emportèrent sur les avantages pour les jeunes de vivre une année dans une école à dimension humaine, avec une approche basée sur les besoins individuels.

Depuis le 28 juin 1909, les Frères de la Charité en prenaient la direction et jusqu'en 1982, un des leurs, le Frère Marius Marchand, en était le directeur. De nombreux enseignants se sont succédé. Combien de jeunes de la région se réclamaient sous ses différentes appellations: Collège Sacré-Coeur, Académie du Sacré-Coeur, Ecole Supérieure du Sacré-Coeur, Ecole Secondaire du Sacré-Coeur, comme de leur Alma-Mater de 1909 à 1982.

Que de souvenirs, les chants de la chapelle, la foule dans la cour de récréation, la cloche qui appelle les élèves dans les rangs, la clameur qui sortait de la salle lors de l'annonce d'un congé, la multitude d'activités de tous genres qui ont formé les hommes de demain.

Des institutions disparaissent, d'autres en assurent la relève, ainsi évolue l'histoire scolaire.

"Heureux abri de notre enfance, à toi notre reconnaissance".

Les frères sont allés enseigner à Cuba mais durent quitter en vitesse lors de la victoire de Castro.  Ils ont enseigné des métiers au Pérou. Les révolutionnaires du «Sentier Lumineux» n’ont pas causés de problèmes, ils appréciaient leurs œuvres qui visaient les gens pauvres.
La communauté opère un foyer à St-Sulpice pour prendre soin de ses membres qui sont retraités.

Le gouvernement a maintenant pris en main l’enseignement, le soin des malades, des invalides et des personnes âgées, ce que faisaient les religieux et les religieuses à peu de frais.


 

 

 

Source : Roland Plante, Courriel Saurelois

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