LE NATIONAL
Une année
sabbatique? Pas de panique avec Katimavik! Ça y
est, fiston a pris son courage à deux mains pour vous l’annoncer : il pense
différer son inscription au cégep pour prendre une année sabbatique. « Quoi!?
Sabbatique?! NOooooon!», lui répondrez-vous, en vous accrochant désespérément à
la chaise la plus proche, priant silencieusement pour que ce ne soit qu’un
mauvais rêve.

Chers parents, pas de panique! Avant que votre tête fasse un 360°, sachez qu’il
existe une option aussi trippante que formatrice pour votre progéniture qui a
décidé de prendre une pause de ses études. Depuis 30 ans, Katimavik, le plus
important programme d’apprentissage basé sur le service volontaire au pays,
offre aux jeunes provenant des quatre coins du Canada une alternative de choix
aux bancs d’école.
L’année sabbatique, un phénomène émergeant
Si le « gap year » fait office de rite de passage dans plusieurs pays
anglo-saxons, notamment au Royaume-Uni et en Australie, le phénomène est
beaucoup plus récent au Québec. Or, alors que leurs pairs remplissent
présentement leurs demandes d’admission à un programme d’études supérieures, de
plus en plus de jeunes Québécois décideront de sortir du cadre traditionnel
afin de prendre une année ou encore, quelques mois de répit après le secondaire
ou le cégep, pour s’accorder un temps de réflexion et vivre des expériences
concrètes, hors du milieu scolaire.
Réflexion + structure = expérience bénéfique
Profitable la sabbatique? Les récentes études statistiques sont unanimes : les
jeunes qui prennent une sabbatique mûrement réfléchie et bien employée à la fin
du secondaire performent généralement mieux à leur retour et sont plus outillés
pour atteindre leurs objectifs de vie. D’ailleurs, chez nos voisins du sud, des
universités prestigieuses comme Princeton[1] et Harvard[2] encouragent
carrément leurs élèves à prendre une année de répit avant d’entreprendre un
programme d’études supérieures dans leur établissement.
Mais répit n’égale pas traîner devant la télé, au contraire! Les spécialistes
s’entendent plutôt pour dire que pour qu’elle soit bénéfique, la sabbatique se
doit d’être structurée. Que votre ado soit intéressé par le bénévolat, le
voyage ou l’apprentissage d’une langue seconde, le programme Katimavik est
taillé sur mesure pour les jeunes gens qui profiteraient avantageusement d’une
« parenthèse utile » féconde en découvertes : découverte de soi, de sa voie, de
son pays.
Katimavik : un projet précis et bien encadré à leur proposer
Conjuguant les bienfaits du séjour linguistique, du stage professionnel et de
l’implication communautaire dans un séjour de 6 à 9 mois à la découverte de
différentes provinces canadiennes, Katimavik s’appuie sur un programme
d’apprentissage structuré qui amène ses jeunes participants à développer des
compétences susceptibles de mieux diriger leur scolarité et d’augmenter leur
employabilité. Cette aventure unique à « l’école de la vie » permet ainsi aux
jeunes de mieux se connaître, d’expérimenter différents milieux de travail, de
se responsabiliser, de découvrir gratuitement leur pays et d’apprendre
l’anglais.
Cet inestimable bagage d’expériences concrètes se révèle donc souvent
complémentaire à une éducation formelle apprise sur les bancs d’école.
Katimavik constitue ainsi une parenthèse profitable dans leur cheminement
personnel et professionnel :
« Lorsque ma fille Julie m’a annoncé qu’elle partait pour Katimavik, j’étais
très inquiet car j’avais peur qu’elle quitte l’école à tout jamais» dit René
Blanchette, père d’une participante du programme. « Toutefois, lorsqu’elle est
revenue à la maison, j’ai été émerveillé par la maturité et le sens de la
débrouillardise qu’elle avait acquis pendant son expérience. Elle qui était à
peine sortie de l’Abitibi, elle est revenue parfaitement bilingue, avec une
ouverture sur le monde que je ne lui connaissais pas. Et je suis maintenant le
fier papa d’une jeune bachelière très épanouie».
Si votre adolescent est prêt à aller de l’avant, ne sait pas encore vers quel
domaine d’études s’orienter ou à quelle carrière se destiner, s’il est en quête
d’expériences à la fois excitantes, éducatives et productives, de celles qui
changent une vie, mettez-le sur la bonne piste et invitez-le à visiter le
www.katimavik.org . Les
inscriptions au programme 2009-2010 sont présentement en cours.
À propos de Katimavik
Katimavik propose aux jeunes de 17 à 21 ans une aventure unique de six à neuf
mois à la découverte de deux à trois régions du Canada. Fondé sur le principe
de l’apprentissage par le service volontaire, le programme favorise le
développement personnel et professionnel par le travail volontaire et la vie en
groupe. Le programme d’apprentissage est axé sur cinq volets : le leadership,
les langues officielles, la protection de l’environnement, la découverte
culturelle et un mode de vie sain. Au terme du programme, chaque participant
aura fourni quelque 900 heures de travail communautaire, à raison de 35 heures
par semaine, à des organismes sans but lucratif. Depuis 1977, plus de 28 000
jeunes Canadiens ont participé au programme Katimavik. |
10 ANS DE SUCCÈS ÉCRASANT
POUR LE DÉFI J’ARRÊTE, J’Y GAGNE ! Montréal, le 16
décembre 2008 — Le Défi J’arrête, j’y gagne ! célèbre cette année son 10ième
anniversaire. Depuis 2000, la formule gagnante du Défi a attiré plus de 260 000
fumeurs souhaitant vaincre leur dépendance à la cigarette. Ce 10ième
anniversaire est d’autant plus important qu’année après année, le concept
prouve son efficacité : deux participants sur trois réussissent à ne pas fumer
durant la période du Défi. Un excellent taux de succès!
Cette année encore, le Défi se relève en duo afin que les
participants se soutiennent, s’entraident et augmentent du même coup leurs
chances de remporter leur combat contre la cigarette. Que le tandem se forme
d’un non-fumeur qui parraine un fumeur ou encore de deux fumeurs qui veulent
arrêter ensemble, les participants doublent ainsi leur force d’action contre la
cigarette. Les nouvelles sont d’ailleurs particulièrement prometteuses pour
ceux et celles qui choisissent de faire équipe avec un fumeur de leur
entourage. En effet, une étude parue dans le New England Journal of Medicine1
au printemps 2008 rapportait que les risques de continuer à fumer sont diminués
de 67 % si le conjoint arrête, de 36 % s’il s’agit d’un ami et de 25 % pour un
parent. Un véritable effet domino !
Alors, cette année, le Défi invite tous les fumeurs
souhaitant cesser de fumer à joindre le mouvement en formant équipe avec une
personne de son entourage. Il suffit de visiter le site DefiTabac.ca et de
s’inscrire avant le 1er mars.
Jici Lauzon, ex-fumeur et porte-parole du Défi, connaît bien
les avantages d’un bon duo offensif contre le tabac. C’est en vacances, sur une
plage de Cuba, qu’il proposait à sa partenaire de faire équipe pour cesser de
fumer. Pourquoi ? « Pour la vie, pour l’amour de notre fils, pour mieux
respirer, explique-t-il… »
Évidemment, toutes les raisons sont bonnes. Mais pour Jici Lauzon, le secret de
sa réussite est clair : « Cette fois était la bonne parce que nous étions deux.
Nous avons pris une photo pour officialiser notre résolution commune, nous
avons cassé nos cigarettes, nous avons livré le même combat avec détermination,
nous nous sommes encouragés... Et nous avons tenu le coup ensemble. »
En route vers le succès
En s’inscrivant au Défi, les participants peuvent obtenir plusieurs formes
d’aide et de soutien : la trousse Jean Coutu à la rescousse, le site
DefiTabac.ca qui abonde de trucs, d’outils et d’information, une communauté
d’entraide dynamique et les courriels de soutien J’écr@se. Ils peuvent
également bénéficier d’un soutien personnalisé en appelant la ligne 1 866
jarrête (1 866 527-7383) et le Centre d’abandon du tabagisme de leur région.
Sans compter qu’ils ont la chance de gagner l’un des prix d’une valeur totale
de plus de 10 000 $ !
Que ce soit en duo avec une marraine ou un parrain non-fumeur ou avec un autre
fumeur, les participants s’engagent à ne pas fumer pendant au moins 6 semaines,
soit du 1er mars au 11 avril 2009. Pour en savoir davantage et pour s’inscrire
avant le 1er mars, il suffit de visiter le site web DefiTabac.ca.
Le Défi J’arrête, j’y gagne ! est une initiative d’ACTI-MENU et de la Direction
de la prévention de l'Institut de Cardiologie de Montréal. Il est réalisé en
partenariat avec plusieurs organismes publics et privés, notamment le ministère
de la Santé et des Services sociaux du Québec, les Directions de santé publique
du Québec, la Société canadienne du cancer, Jean Coutu, Pfizer et Novartis.
Karine Théberge |
EN 2009,
TOUT LE MONDE SE QUALIFIE POUR LE DÉFI SANTÉ 5/30 !
Montréal, le 7 janvier 2009 – Pas besoin de s’entraîner ou de
manger une tonne de fruits et de légumes pour être admissible au Défi Santé
5/30. Sportif ou sédentaire, amoureux des légumes ou des patates frites, tout
le monde se qualifie, sans exception ! Fort de son impact positif sur le mode
de vie des Québécoises et Québécois, le Défi Santé 5/30 célèbre son 5e
anniversaire. Depuis 2005, c’est plus de 300 000 personnes qui s’y sont
inscrites et sont passées à l’action au nom de leur santé. Une fois de plus
cette année, cette vaste campagne provinciale invite les petits et les grands à
adopter ou à maintenir de saines habitudes durant au moins 6 semaines, soit du
1er mars au 11 avril 2009.
Porte-parole pour une quatrième année consécutive, Francis Reddy relève de
nouveau le Défi avec sa famille: «C’est avec enthousiasme que nous participons
encore au Défi cette année. Peu importe son niveau d’activité physique ou ses
habitudes alimentaires actuels, tout le monde gagne à avoir des réflexes santé.
La formule est simple, accessible, conviviale. J’invite tous les Québécois à
relever le Défi.» Que ce soit en solo, en équipe ou en famille, tous peuvent
s’inscrire au DefiSante530.ca avant le 1er mars.
Des nouveautés en 2009
Pendant le Défi, tous les participants s’engagent à manger au moins 5 portions
de fruits et légumes quotidiennement (objectif 5) et à bouger au moins 30
minutes quotidiennement (objectif 30), au minimum 5 jours par semaine, pendant
6 semaines. Le Défi est aussi l’occasion pour les adultes de faire le point sur
leur poids et leur tour de taille. Les jeunes sont quant à eux invités à
limiter leur temps devant l’écran, que ce soit la télévision, les jeux vidéo,
l’ordinateur, etc.
En nouveauté pour cette cinquième édition, les participants atteignant déjà les
objectifs 5 et 30 et désirant aller plus loin dans leur démarche peuvent
ajouter un ou plusieurs des 3 objectifs PLUS : adopter les grains entiers,
renforcer ses muscles et relaxer pour garder l’équilibre.
Le Défi, c’est un vaste mouvement santé impliquant des dizaines de milliers de
personnes mais aussi les villes et villages du Québec. En effet, les
municipalités de la province sont invitées à faire la promotion du Défi auprès
de leurs citoyens et à mobiliser des acteurs sur leur territoire.
Tout le monde peut participer, tout le monde peut gagner !
En s’inscrivant, les participants obtiennent une foule de conseils et d’outils
gratuits pour les aider à relever leur Défi, incluant notamment la trousse IGA
du Défi Santé 5/30, le site Internet DefiSante530.ca et les courriels
d’encouragement.
Les participants peuvent se mériter des prix d’une valeur totale de 20 000 $
dont un Régime enregistré d’épargne-études (REEE) Desjardins d’une valeur de 5
000 $, qui sera remis à la Famille 5/30 Desjardins.
Le Défi repose sur une formule gagnante et éprouvée qui permet de prendre le
virage santé et d’apprivoiser de saines habitudes de vie un geste à la fois,
dans le plaisir et à son rythme. L’adoption de saines habitudes de vie
contribue à la prévention de plusieurs problèmes de santé liés au style de vie
– maladies cardiovasculaires, certains cancers, diabète, obésité, etc. Pas de
doute, tout le monde gagne à participer au Défi Santé 5/30!
Le Défi Santé 5/30 est une production d’ACTI-MENU présenté par la Direction de
la prévention de l’Institut de Cardiologie de Montréal et la Société canadienne
du cancer. Il est réalisé en partenariat avec les directions de santé publique
du Québec, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec ainsi qu’IGA,
le Mouvement des caisses Desjardins, AstraZeneca, Pfizer, Danone, Les
Producteurs laitiers du Canada et Énergie Cardio.
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