Chère épouse, deux
ans ont passé depuis
le jour où tu
partais pour le
voyage sans retour.
Il y a des jours où
la douleur est très
profonde, où ta
chaleur et ta gaieté
me manquent
beaucoup.
Il est bon de savoir
que tu continues de
veiller sur nous
avec l’aide de notre
fils Emmanuel qui
t’accompagne
dorénavant.
Je t’aime si fort,
tu sais. En
attendant de te
revoir, profite du
repos éternel que tu
as tant mérité.
Michel C. Pelletier
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