Ce soir Il me vient une idée !

Une ébauche tout simplement !

Se préparer à fêter Noël comme c’est excitant! On pousse l’émerveillement à son comble
tout comme on ouvre un cadeau, le bonheur ouvre plein d’images à des nouveautés mais ce qui étonne le plus, c’est ce que suscite cet esprit de fête au point que l’on redevient presque enfant, où tout encore une fois, ce temps si magique nous ramène à la famille.

J’aime croire qu’un foyer heureux doit être à l’image d’une ménagerie de verre où, on déposerait nos plus beaux joyaux, nos plus beaux diamants. Cet amoncellement de joyaux que sont la politesse, la beauté de l’esprit, la cordialité, la loyauté, l’amour les uns envers les autres ect.

Ces diamants que sont ces enfants, témoins et cadeaux de Dieu pour sa tendresse qu’IL nous porte et de l’amour qu’Il nous donne, et qu’à travers Lui, la nature de l’homme devient sublime, prend tout son sens. Sans ce Dieu d’amour nous n’existerions pas.
Sans enfant, ma ménagerie n’aurait aucun éclat, aucune chaleur. Ce qui donne vie à une vie, c’est la Vie, sinon devant un tel vide, la tristesse plutôt que la joie, y ferait son nid.

Dans une ménagerie il y pourrait avoir d’autres pierres aussi précieuses que les diamants à soigner. Que dire des ces perles, qui ne peuvent qu’en augmenter la valeur!
Ces perles nous leur donneront forme et Vie, lentement, dans le secret le plus intérieur de nous-mêmes tout comme elles se développèrent au plus profond d l’océan, Donnons leur
une âme, elles n’auront d’étincelles que par la lumière qu’elles dégage dans ce qu’il y a de plus Grand, de plus puissant, du Tout-Puissant.

Gardons une place bien spécial digne du grand Souverain dans cette ménagerie de verre, où l’on déposera Cet Enfant de la crèche signe de vie, Celui-là même qui viendra avec la promesse que tous sommes appelés à vivre dans Son Royaume. Attardons-nous à cette pensée plus que tout autre.
Noël reste toujours un temps de réflexion., Dieu est bonté et amour. Le vrai chrétien sait, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.

PENSÉE: Là, où le péché a abondé, la grâce a surabondé. Éloignons les ombres du mal, pour rechercher avec sincérité le mal à nos maux.

Bérengère
mercredi novembre 15, 2006

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