CE SOIR IL ME VIENT UNE IDÉE

…..NOUVEL  AN…. 2003…. 

Une nouvelle année s’annonce et frappera bientôt à notre porte, avec ses drames du passé du présent et du futur.  Quel titre donner à tous ces tableaux de l’existence terrestre?  

Pourtant, une étoile a brillée plus que toutes les autres, à un court moment donné en cette nuit de Noël 2002 qui précède cette nouvelle année 2003.   Vous est-elle apparue brisée par le temps, ou s’est-elle obscurcie dans le brouillard des malheurs inventés par les hommes sans pitié, sans conscience?  

Peut-on envisager l’an nouveau avec un esprit de joie et de paix éternelle,  quand l’épée de Damoclès est suspendue au dessus de nos têtes ?  Partout sur l’univers la rage de Satan se fait sentir plus que l’amour Divin!  On ne cesse de prêcher l’amour, et il semble qu’on ne récolte que la haine. 

Prenons Israël au cœur dur,  Il est loin ce temps de Moïse envoyé pour créer l’ordre en vue de l’œuvre à accomplir. Quand est-il de  2003?  Nous sommes tous témoins de ce grand désordre qui ruine Israël. 

OÙ veut en arriver l’homme?  À la destruction totale? Là serait sa victoire?  Sur qui?  Sur lui, ou contre Dieu?  Si on y prend garde, il pourrait arrivé que notre planète soit emportée par la mer, et on y perdrait le berceau d’une vie, d’une richesse de nul part ailleurs. Tous ces tyrans de la politique, des pissenlits sur le dollar!   Triste époque qu’est la nôtre. Ce qui m’afflige le plus aujourd’hui, c’est qu’une indifférence totale semble régner  sur notre globe à la dérive.

Je voudrais que cette nouvelle année soit une année de prise de conscience, pour que chacun de nous puissent poser des gestes qui engagent. Souvent on attend trop des autres,  p e r s o n n e   n’a été désigné Nous sommes tous désignés. Toute amélioration commence par soi-même.  L’être humaine vaut par son âme, et non pas par les biens qu’il possèdent. Comment revenir aux valeurs fondamentales. On ne distingue même plus le bien du mal.

Quels souhaits prescrire  en 2003?  Pour moi, que cesse toute cette vulgarité sur ce sexe dégradant vis à vis de la femme.

Il est bien dit que lorsqu’une Nation commence à chercher à l’excès la satisfaction de ses plaisirs, l’histoire a déjà commencée à rédiger son épitaphe. 

Je ne voudrais en rien assombrir la joie qu’apporte une année nouvelle, car elle apporte justement cette espérance, que quelque chose de bien se produira et qu’avec la meilleure volonté du monde, tous ensemble, s’il plaît de regarder le sens profond de notre vie, autant prendre une chance d’aller vers ce Jésus de Nazareth, qui un jour Se fit enfant,  pour venir nous sauver. Faisons nôtre  cette pensée tout au long de l’année!

                                   JOYEUX  NOËL, BONNE  ET SAINTE  ANNÉE!

Bérengère
mercredi 01 janvier 2003