CE SOIR IL ME VIENT UNE IDÉE

Où porte le rêve

Il vous porte là , où l’imagination dépasse les frontières de la réalité.  Qu’elles sont ces frontières?   Un esprit débordant, une vision de milles choses,   conscient  ou  inconsciemment venu du tréfonds de l’inconnu, ou d’une réalité non  définie. Et que par milles images congrues ou incongrues poussant l’être tout entier, à pénétrer dans ce sentier du beau et du  bon de ce que possède en elle-même un personne.

Toute jeune fille, a un  jour rêvé au prince charmant.!  Chacune inventera son roman à sa façon. Tout comme, par un beau matin, à l’aurore du jour, ce beau prince, décide de faire une promenade, quand tout à coup, à l’orée du chemin ses yeux se posent sur une magnifique roseraie, s’arrêtant pour respirer leurs parfums délicats; y cueillera une rose, et de cette fleur si particulière et parfaite, une belle princesse apparaissait tout à coup,  mais cette princesse,  que le rêve spécule,  c’est sa propre image qu’elle voit en cet instant-même.

Ou bien, qu’en serait-il d’une jeune fille venue d’un milieu rébarbatif ?  Elle rêvera d’un dominateur qui saura la dominer. Son fantasme, aura pour seule raison vivre des aventures héroïques, se faisant complice de ces dieux malicieux venus tout droit de la mythologie, uniront leurs forces dans l’action.!   (Elle)…puisera..  avec fermeté dans ses propres forces, pour accomplir avec eux des évènements digne de leurs puissants antagonismes.!  Comme la réalité est tout autre, c’est sa peur qu’elle fuit , se sentant  vulnérable aux prédateurs sans cesse aux aguets .!

Le rêve peut être confort  ou malaise; c’est selon les états d’âme du moment qui passe. Comme l’homme est fait de bien et de mal, les deux états bouleversent, et c’est là, que les rencontres de l’imagination peuvent captiver l’image , et propulser l’esprit au point de se déferler dans ce qu’il a de bien , de mauvais, de crainte.  Ainsi prend forme le rêve, et par lui, l’être vibre au même rythme que son imagination prolifique .!

Ce moment agréable,  fut peut-être,  le fruit de ma propre imagination.! On dit d’elle, qu’elle est la folle du logis.! Freud lui pense; que c’est la revanche que nous prenons sur la réalité.! Qu’elle qu’en soit le motif, j’ai pris plaisir à monologuer sur ces deux (problématiques).!!!!

BÉRENGÈRE

Juste pour rire :
PAIN :
Mets : roulé en boule, rempli d’yeux, lippu, gibbeux, aigre ou doux, ovale ou rond, tendre ou dure, noir ou blanc, nécessaire à la vie.!    (R.B.)

mardi 11 février 2003


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