LE SORELTRACY MAGAZINE     *  Dernière mise à jour : lundi 04 avril 2011 21:41

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NÉCROLOGIE

NOUS JOINDRE

lundi 04 avril 2011

« QUESTION DE FEELING », une chronique de Lucie Antaya
AU-DELÀ DES APPARENCES…

Le printemps insuffle une inclinaison vers le renouveau.
Et si, outre le grand ménage printanier des choses matérielles, on rafraîchissait notre mémoire en regard de nos besoins actuels, de nos désirs présents? Comme par exemple, balayer et éclairer un espace dédié au bonheur… C’est qu’on ne sait pas toujours comment on l’aime ce « maudit bonheur ». Y réfléchir et se redéfinir face à nos attentes, souffler sur la poussière de nos idées devenues superflues ou inutiles s’avère peut-être une première étape. Et de grâce, ne nous la faisons pas ardue.

Parlons, rions, échangeons nos idées en dégustant un bon vin ou un café. Nul besoin d’élever la voix; le bonheur se tient près de nous. Prenons l’habitude de le courtiser en côtoyant des êtres avec qui on partage de bonnes affinités et levons, de temps à autre, notre verre ou notre coupe à l’éradication de la bêtise humaine. Suivront les plus beaux prétextes du monde : l’amour, l’amitié, la santé, la créativité, la conscience aiguisée, le plaisir…

UN FLEUVE QUI EN DIT LONG…

Il suit son cours millénaire devant nous, sinon à proximité de nous.
Quelle chance inouïe avons-nous de pouvoir sentir, transportée par le vent, cette odeur argileuse qui émane du Saint-Laurent, d’y entendre l’air du temps, de le longer à pied ou de se laisser porter à même sa surface.

Que l’été qui vient soit propice à des moments privilégiés vécus dans le silence de l’aube, lorsque le voile est levé sur la noirceur et que le jour patiente quelques instants, hésitant entre deux couleurs du temps et deux rythmes du jour.

Puisse notre regard s’émerveiller devant la beauté de ce grand fleuve qui fait partie de notre environnement. Quelle chance!

LECTURE

« ÊTRE HEUREUX, CE N’EST PAS NÉCESSAIREMENT CONFORTABLE », Thomas d’Asembourg (Les Éditions de l’Homme).

Il peut arriver que l’on doive redéfinir le bonheur. Que de pièges antibonheur s’immiscent au cœur de notre quotidien!

PENSÉE

Seules comptent les apparences.
Il faut se masquer, continuellement, souvent au prix de la vérité.
L’émotion réelle, on s’en fout. Mais elle, non. Elle veille et ressurgira en nous, empruntant malheureusement la voie de la maladie.

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