La poudre de ciment et la poutre de béton
Repartie à Normand Bellehumeur


Le temps qu'il fait sur mon pays
Je veux le dire. Me faut le dire
Le temps qu'il fait sur mon pays
Il faut le dire à mes amis

Gilles Vigneault, Le temps qu'il fait sur mon pays


Deux fois plutôt qu'une en moins de vingt-quatre heures, et dans deux journaux distincts du groupe Gesca (
http://www.cyberpresse.ca/article/20080819/CPSOLEIL/80818159/5826/CPSOLEIL  et http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080819/CPSOLEIL/80818159/5826/CPSOLEIL ), M. Normand Bellehumeur, de Gatineau, rappelle, et je cite, que « tout nationalisme est bien près du racisme… ».

Ce n'est pas inexact, en effet. Comme on pourra déclarer incidemment, et non sans certitude, que la pluie et le vent (Dameline et Fanfan, eût dit notre grand Gilles) constituent à l'occasion des éléments destructeurs qui font bien peu de cas de nos congénères de la confrérie humaine.

Je rajouterais toutefois au passage que le phénomène se révèle singulièrement vrai, ce me semble, au tréfonds (à la périphérie aussi) du nationalisme de Canadian obédience.

Or curieusement, et on ne sait trop pourquoi, M. Bellehumeur, s'est bien gardé de le préciser.

Morale de cette (petite) histoire en forme de périphrase du propos de notre vertueux personnage : « Toute pensée tronquée se loge toujours à un demi-cheveu d'une pensée truquée ».

Jean-Luc Gouin
LePeregrin@yahoo.ca
ex-résident de cette banlieue de la Federal Capital (et fière de l'être, très manifestement) nommée Gatineau
ce 20 août 2008

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