mercredi 25 février 2015
Sylvain Rochon
fait appel à l’unité au
lendemain de l’élection pour
défendre les intérêts de la
région
« Au lendemain du
9 mars, il nous faut, urgemment,
un agenda collectif, »
a déclaré Sylvain Rochon en
conclusion du débat opposant les
huit candidats à l’élection
partielle de Richelieu.
« Faire des rêves communs.
Ouvrir des chantiers où l’on se
reconnait toutes et tous. Où
l’on se fait confiance. On a
besoin de cohésion. De former
une équipe! Besoin prendre le
parti de notre région! »
Le
débat s’est déroulé de façon
polie sans grandes oppositions.
Tous ont insisté sur
l’importance d’aller voter le 9
mars prochain ou au vote
anticipé, les 1 et 2 mars.
Sylvain Rochon a pu démontrer la
connaissance intime qu’il a de
la région et de ses enjeux et a
pris parti clairement pour les
plus démunis qui composent plus
de 15 pour cent de la population
et pour les groupes
communautaires qui leur viennent
en aide.
« Je crois qu’il faut se
préoccuper de celles et ceux qui
ont de la difficulté à joindre
les deux bouts et seront les
plus touchés par les
compressions et les
restructurations libérales, »
a-t-il déclaré.
«
Notamment, parce qu’on coupe les
vivres aux organismes qui sont
là pour tenter d’atténuer les
effets de la pauvreté sur ces
familles monoparentales, ces
personnes âgées, ces jeunes à
emploi précaire. »
Sylvain Rochon a eu l’occasion
d’exprimer son appui aux projets
porteurs pour la région comme le
pôle logistique de Contrecoeur,
l’Écomonde, la Technopole en
écologie industrielle ou le
monorail à grande vitesse, et de
réitérer son opposition au
transport et à l’entreposage de
pétrole issu des sables
bitumineux. Il a cependant
déploré que le gouvernement ait
réduit des deux tiers le budget
consacré au développement
économique, ce qui rendra
difficile la mise en œuvre des
projets issus du Forum
économique et portés par les
entrepreneurs.
« Je
suis né ici, j’ai grandi ici,
j’ai travaillé ici, »
a rappelé le candidat péquiste.
« Toute ma vie, à
la télé, à la radio, puis au
bureau des députés, j’ai écouté
vos craintes, vos rêves et vos
espoirs, tant personnels que
collectifs, pour ensuite les
faire connaître. Avec un bonheur
qui n’a jamais diminué en
intensité et avec une foi, en
vous et en la région,
inébranlable. À 53 ans, je
décide de pousser cet engagement
professionnel et citoyen
jusqu’au bout. Si vous me faites
confiance le 9 mars, chaque jour
que je quitterai la région pour
Québec, j’aurai vos
préoccupations dans mes bagages.
Je serai votre voix à
l’Assemblée nationale, m’y
tenant dans la seule position
digne du Sorelois que je suis:
Debout! »
Comité
électoral de Sylvain Rochon
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