LE SORELTRACY MAGAZINE     *  Dernière mise à jour : mercredi 30 novembre 2011 17:40

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mercredi 30 novembre 2011

Annie Péloquin parmi les 2 finalistes (41-49 ans) du concours Mannequin d’un jour

«Cela a provoqué ici, à Sorel, une chaîne d’amour. Les gens m’arrêtent sur la rue pour me féliciter.»- Annie Péloquin

La Soreloise Annie Péloquin fait partie des 12 finalistes du concours Mannequin d’un jour du Journal de Montréal dont les grandes gagnantes seront dévoilées lors de l’émission animée par Chantal Lacroix, le 6 janvier prochain à TVA.

La Soreloise Annie Péloquin a fait parvenir cette photo au Journal de Montréal. Elle fait partie des deux finalistes du Concours Mannequin d'un jour dans la catégorie 40-49 ans.

Cette technicienne en coiffure vient de vivre une expérience emballante et extrêmement enrichissante. Pendant quatre jours, du 23 au 27 novembre, elle a goûté à plusieurs aspects du métier de mannequin: longue séance de photos, entrevues avec Chantal Lacroix, soupers dans les plus grands restaurants de Montréal et un séjour dans une superbe suite de l’hôtel Crystal.

«Dès que je suis partie de chez moi le 23 novembre, j’ai pensé que j’étais une gagnante de même que les 11 autres finalistes avec qui j’ai développé une belle amitié», raconte-t-elle, émue.

Visualisation

En janvier 2010, en regardant l’émission Mannequin d’un Jour, Annie Péloquin s’est dit: «c’est là, sur scène, que je veux être l’année prochaine.»

Dès l’annonce du concours, en septembre dernier, elle envoie une lettre et une photo au Journal de Montréal. Dans la première lettre, elle doit répondre à deux questions: qu’est-ce qui vous rend belle selon vous? Annie Péloquin a répondu que c’était sa différence, la somme de ses expériences, mais surtout son urgence de vivre à chaque jour un petit bonheur.

Elle a aussi raconté une épreuve qu’elle a surmontée. Les téléspectateurs vont pouvoir connaître toute son histoire le 6 janvier prochain.

Étapes du concours

Lors de la première semaine de sélection, le 1er octobre dernier, Annie Péloquin se lève tôt pour aller acheter le quotidien de Montréal. Elle est très déçue de ne pas être choisie.

Puis la semaine suivante, Annie arrive au salon de coiffure Guy de Verchères, l’endroit où elle travaille. En ouvrant la porte, à 7 h 30 le matin, ses collègues l’applaudissent chaleureusement. «Je fais alors partie des 580 finalistes, je pleure de joie», ajoute Annie Péloquin qui a l’intuition que désormais, elle entre dans la course.

Le 5 novembre, elle vit d’autres émotions en constatant qu’elle est choisie parmi les 15 concurrentes finalistes dans sa catégorie d’âge 41-49 ans. Puis dans l’édition du Journal de Montréal du 19 novembre, on retient deux candidates dont Annie et une rivale provenant de Trois-Rivières.

Le jury devra faire son choix entre deux femmes très différentes. «Je suis restée moi-même tout au long de la compétition. Ce qui fait ma différence, je pense, c’est ma simplicité et mon honnêteté.»

Le plus difficile

Le plus difficile pour Annie fut de répondre aux questions de l’animatrice Chantal Lacroix devant la caméra. Une chose qu’elle n’est nullement habituée dans la vie de tous les jours. «J’ai été obligée de sortir de ma zone de confort», relate-t-elle.

Plus qu’un concours

Annie Péloquin est ravie de son expérience au Concours Mannequin d'un jour.

Annie Péloquin déplore qu’il existe des préjugés face à ce genre de concours. «Ce n’est pas juste un concours de beauté. On met en valeur la femme d’aujourd’hui. Chaque participante avait une histoire bien à elle. On avait tous des frissons en les entendant. Je pense que cela reflète le quotidien de bien des gens.»

Après avoir vécu la vie de star, Annie a retrouvé avec bonheur sa maison de Sorel-Tracy et sa fille Kelly-Ann âgée de 17 ans. Elle a trouvé l’expérience plaisante, mais a hâte de retrouver sa clientèle au Salon de coiffure.

«Je ne l’aurais pas fait à 30 ans. Aujourd’hui, je me sens beaucoup plus épanouie et sûre de moi. Et cela a provoqué ici, à Sorel, une chaîne d’amour. Les gens m’arrêtent sur la rue pour me féliciter.»

En ayant surmonté des épreuves par le passé, Annie Péloquin a compris que la vie n’est plus une course contre la montre.

«Je suis rendue à une période de ma vie où tout semble possible. Quand on est jeune, on veut tout faire et être super woman. Maintenant, je m’accorde du temps de qualité pour moi. Je prends le temps de marcher et de lire un bon livre.»

Lors de sa participation à Mannequin d’un jour, Annie et les autres participantes ont reçu de nombreux livres, DVD, CD et une immense trousse de maquillage signée Chantal Lacroix. Elle a bien hâte à la finale le soir du 6 janvier prochain.

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