« Nous devons nous donner rapidement les moyens de nos ambitions. » - Sylvain Simard 

Sorel-Tracy, le 19 février 2004 -  Pressentant que le gouvernement Charest pourrait ne pas rester longtemps aux affaires et estimant que le Québec province n’a plus d’avenir, dans le contexte du déséquilibre fiscal et de la volonté toujours plus centralisatrice d’Ottawa, le député de Richelieu, M. Sylvain Simard, et la présidente du Parti Québécois, Mme Paulette Cardin-Éthier, ont donné le coup d’envoi, cet après-midi, à une campagne de financement menée aux fins de donner au PQ les moyens de ses ambitions :   remporter les prochaines élections pour faire du Québec un pays! 

Le président du parti et chef de l’Opposition officielle, Bernard Landry, viendra lui-même donner un coup de pouce aux troupes locales, le 8 mars prochain, dans le cadre d’un cocktail bénéfice, au restaurant Luna Piena.  « La saison des idées lancée par Bernard Landry est un excellent leitmotiv pour les militants et les militantes qui y contribuent avec enthousiasme » affirme Sylvain Simard. 

« Pour moderniser notre programme,  le fonctionnement de notre parti et mieux définir notre projet souverainiste, nous devons consacrer des énergies qui se calculent en temps mais aussi en argent » poursuit Paulette Cardin-Éthier qui, avec une armada de bénévoles, recueille déjà les souscriptions. 

L’objectif poursuivi est de 30 000 dollars.  Pour Sylvain Simard, «  la réussite de la campagne de financement, comme celle de la saison des idées,  repose sur trois mots clés : ouverture, convivialité et écoute des citoyens.  Le but est de proposer aux Québécoises et aux Québécois d’écrire avec nous un programme rassembleur et de construire un projet de pays plus concret que jamais » conclut le député. 

Pour contribuer à la campagne de financement du Parti Québécois Richelieu en participant au cocktail bénéfice du 8 mars à 125 dollars le billet ou en effectuant tout autre don, on peut communiquer avec madame Cardin-Éthier au 742-1550.  

Rappelons que les contributions aux partis politiques québécois entraînent une déduction d’impôt égale à 75% des 400 premiers dollars versés.

Sylvain Rochon

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